Nous accueillons un couple avec un enfant (puis deux depuis 15 jours car il y a eu une naissance) depuis le 30 novembre. Ces personnes se sont exilées pour des raisons de sûreté. On leur fait découvrir le français par des jeux, des couleurs, on mange ensemble. Ils nous font découvrir la cuisine arménienne et leur pays qu’ils aiment évoquer. Un de nos enfants fait sa crise de jalousie, mais c’est une expérience enrichissante.
J’ai dû quitter le Bengladesh pour raison politique et religieuse (Islam radical). L’arrivée le 11 novembre a été très dure. J’ai vécu des temps très durs ici, avec la température de l’hiver. C’est une grande chance d’avoir une famille pour m’accueillir. Je ne croyais pas que j’aurais pu rencontrer des personnes qui m’aident autant.
C’est une belle expérience humaine. C’est plus simple que ça en a l’air. Je suis très absente, donc peu disponible, mais cela lui laisse du temps au calme. Il se débrouille pour manger. C’est très facile
C’est une expérience humaine forte. Ca fait toucher la réalité de notre société. On fait partie de la même humanité. Cela nous ouvre, c’est une transformation intérieure à faire, une belle expérience, une aventure.
Ce n’est pas une charge, c’est très facile. C’est une rencontre intéressante. Nous lui proposons de vivre ce que nous vivons en famille : soirée culturelle, club de badminton, vie associative, soirée entre amis. Ainsi, elle découvre comment fonctionne la vie sociale en France. Nos enfants sont aussi contents que nous et partagent de bons moments.
