J’ai dû quitter le Bengladesh pour raison politique et religieuse (Islam radical). L’arrivée le 11 novembre a été très dure. J’ai vécu des temps très durs ici, avec la température de l’hiver. C’est une grande chance d’avoir une famille pour m’accueillir. Je ne croyais pas que j’aurais pu rencontrer des personnes qui m’aident autant.